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| Sujet: Je ne veux pas être un ange... ._. Sam 16 Sep - 20:02 | |
| Akira Hiroshige 24 ans - 08/02 - Paradis- Chérubin - Masculin – homosexuel (et romantique) avatar(s) : Shima Sakon, Sengoku Basara De quoi ai-je l'air ? Akira est un ange qui a l’air d’avoir son âge : c’est-à-dire un jeune adulte dans la vingtaine. Son physique est typé japonais bien que ses yeux moins bridés informent que son père avait l’air plus européen. Il est svelte, culminant à un mètre soixante-seize, et possède à présent quelques muscles dû à ses entraînements, ce qui commence à lui donner un physique un peu plus martial que de son vivant. Pour parfaire à son apparence dynamique, ses cheveux sont un poil ébouriffé, et bicolore, marron et orangé, coupés courts – jusqu’à la nuque – avec une mèche lui tombant sur le front. Ses yeux sont eux aussi orangés, tirant vers le rouge, et ses canines sont plus pointues que celles d’un humain, lui donnant un petit air de vampire que, nous le verront tout à l’heure, son look entretient. Ses ailes plumeuses ne dérogent pas à la règle des couleurs chaudes et sont d’un dégradé du rouge à la base à l’orange à l’extrémité.
Sa figure est expressive, reflétant une certaine franchise voir un peu son mal être quand ses yeux se perdent dans le vague. Quand il est contrarié ses sourcils se fronce, et quand il est heureux sa bouche forme un grand sourire.
Pour ce qui est des habits, Akira avait déjà adopté un style rock, voir un peu gothique décontracté, qu’il essai d’appliquer de nouveau au Paradis, customisant un peu ses vêtements s’il le faut en rajoutant quelques chaînes ou en les déchirant un peu. Ses yeux portent souvent du khôl et ses ongles du vernis noirs. Pour les entraînements, il préfère un jooging plus pratique. Il n’a pas de tatouage – bien qu’il y songe – et porte un trou à l’oreille gauche pour y mettre une décoration, souvent une boucle d’oreille en forme de dague qu’il a acheté et un simple tour du cou noir. Ma façon de penser Akira, c’est la fougue de la jeunesse, un concentré d’énergie qu’il n’utilise pas toujours à bon escient. Pour les plus à cheval sur les lois et l’élégance, pour les plus rigides et étroits d’esprits, Akira est aussi un con idiot qui ferait mieux d’être mâter avant d’avoir des idées stupides et un trop plein d’agressivité. Il est vrai que le jeune homme à la hargne depuis quelques temps, des élans de colère difficilement contenue envers un peu tout le monde et que la rage semble parfois luire dans ses yeux. Cet état d’esprit lui vient de ce qu’il a vécu aux Enfers. Cela se ressent aussi sur son style de combat. Le Paradis est pour lui une prison. Une belle prison certes, un cadre fantasy agréable à ses yeux d’aventuriers qu’il aurait pu apprécier s’il n’avait pas d’objectif ; mais aussi un endroit duquel il ne peut sortir sans permission.
Akira ne s’y sent pas à sa place – il faut dire qu’il est mal tombé au niveau tutrice et père – et se sent moins bien que les autres, comme s’il avait du retard en magie à rattraper. Alors il bosse dur, surtout sur les portails qui l’obsèdent : la clef de sa mission de sauvetage – il se renseigne et veut lui aussi sentir la puissance couler dans ses doigts sans être à la traîne. La magie le fascine c’est vrai, il voudrait tout maîtriser tout de suite sans attendre car il sait qu’il n’a pas trop de temps. En effet, Akira ne souhaite pas rester là. De fait, le jeune homme n’a pas vraiment de projet au sein du Paradis car son but est de se tirer d’ici, de faire un portail et de sauter dedans mais il est obligé d’attendre d’avoir accès à internet pour avoir les coordonnés de chez lui, pensant en toute innocence qu’il pourra retrouver son ancienne vie une fois avoir sauvé les prisonniers des Enfers. De fait, bien que sociable de son vivant, il ne se fait pas vraiment d’amis au Paradis, ne souhaitant pas forcément parler de ses projets dans un instant de maladresse.
Car Akira est maladroit parfois, se montrant trop agressif ou irréfléchi dans ses actes et propos. Il préfère montrer sa colère que sa tristesse : il ne veut pas pleurer devant les anges (fierté mal placé). Le jeune homme est aussi déstabilisé en voulant exprimer ses émotions fortes, se faisant facilement troubler : se n’est pas un grand orateur, il aurait bien du mal à tenir une joute verbale. Pourtant, ne vous y trompez pas : amateur de livres, films, mangas, roleplay et jeux vidéo, il est aussi capable de faire preuve de stratégie pour parvenir à ses fins surtout si la situation lui tient à cœur : la preuve il complote depuis trois ans. Se prenant parfois pour un héros, il n’hésite pas à aider les autres comme il peut, s’étant pour le moment fixé le but désespéré de libérer les esclaves des Enfers, ne se rendant pas forcément compte que cela est très risqué et aussi mal venu pour un ange.
Le jeune homme est aussi quelqu’un de troublé, ébranler par son séjour forcé. Il se force à ne rien dire pour éviter que l’on sache ce qu’il s’apprête à faire, à savoir tenter de sauver des esclaves et ensuite repartir dans sa famille. Akira fait semblant d’aller bien, d’avoir récupérer, de sourire, de faire ses leçons, d’être poli. Un œil attentif pourra toutefois discerner un air hanté quand il est au repos, et certains moments d’absence, plongé dans de sombres pensées.
Pour ce qui est de la hiérarchie, l’on aurait tort de penser qu’Akira ne la respecte pas. Néanmoins, il veut savoir pourquoi une personne est au-dessus de lui et surtout connaître un peu sa personnalité. Bien qu’Akira soit né dans la société japonaise, il est jeune et moins strict à ce propos – il n’aime pas trop faire des courbettes surtout s’il pense que ce n’est pas justifié. Inutile de chercher à lui donner un ordre contraire à ce qu’il juge « juste », considérant que les anges sont un peu fous avec le principe d’Equilibre. Ce concept le hérisse totalement : lui qui est loyal envers ses amis, il serait bien incapable de changer de camps juste parce qu’un prophète dit qu’il faut le faire point barre.
Malgré une immersion totale dans la langue angélique, quand il perd son sang-froid, Akira se met à parler japonais, sa langue natale.
Ce que je sais faire.... Pour vous aider voici tout ce qui est à compléter, vous pouvez supprimer les parties qui ne vous concernent pas
- Langues parlées : démonique (notion, de quoi dire « bonjour, je m’appelle Akira » et surtout "je viens vous aider"), angélique (moyennement courant (langage plus "simple" que "soutenu")), japonais (courant), anglais (courant) - Portails connus : Enfer, Terre, quelques difficultés avec celui du Paradis - Métamorphose : de quoi avoir l’air plus humain. Couleur de cheveux, yeux, dents. - Maîtrise de l'exaltation : Mauvaise maîtrise, aura jeune de chérubin (il n’a que trois ans au Paradis) - Type d'aura : Akira possède une aura dynamique et instable, légèrement agressive mais pas mauvaise. - Régénération : Moyenne. Ce n’est pas le plus faible des chérubins mais il est arrivé au Paradis il y a trois ans. - Capacités au corps à corps et force physique : Bonne force physique, novice dans le corps à corps et trop agressif. - Capacités en arme : Novice en maîtrise du katana, style plus agressif que défensif - Magie élémentaire : Lumière. Niveau débutant. Peu faire une sorte de flash lumineux. Il a du mal à se concentrer.
L'histoire qui m'anime Il était une fois une jolie humaine japonaise travaillant à mi-temps pour ses études en médecine. Elle s’appelle Hanae, belle et fraîche, joyeuse et souriante, parfois elle fait un peu la fête avec ses amis, parfois elle fait tourner des têtes mais sans aller plus loin. Jusqu’à la rencontre avec cet étranger venu d’un autre pays. Il paraît qu’il vient d’Italie, et son joli accent le confirme. Il était une fois un ange fier et arrogant, Lorenzo, considérant les humains comme de simple pion, parfois juste comme bouche trou, même si le thé japonais lui plait assez, alors parfois il va en acheter là-bas. Et puis il y a cette belle femme aux formes intéressante. Pourquoi ne pas passer une nuit agréable avant de repartir au Paradis ? Il fait semblant d’être gentil, attentionné. Il lui fait croire qu’elle est la seule. Il lui fait croire qu’il est stérile, le pensant surement sans avoir eu d’enfant depuis longtemps. Il accepte même d’être pris en photo avec elle, comme si Lorenzo allait rester avec Hanae. Lorenzo laissa Hanae une semaine plus tard.
Hanae vécu difficilement sa grossesse, le voyant comme un fait fort ennuyeux, et bien que crispée, sa famille traditionnel ne voulu pas qu’elle avorte. Elle failli accoucher dans la rue si une passante ne l’avait pas emmené à l’hôpital à temps. Hanae perdit son beau sourire à dix-neuf ans, avec un enfant qu’elle ne désirait pas. Un garçon, il s’appellerait Akira, un prénom banal lui étant venu à l’esprit. La jeune mère abandonnée avait du mal à joindre les deux bouts, le petit Akira avait beaucoup d’énergie et semble se donner du mal pour faire sourire sa mère. Pour se faire accepter quand même. Tôt éveillé au monde, il l’explore et dessine, toujours en forme. Quand sa mère est triste, il fait des dessins souriants, et Hanae fini par accepter ce petit bonhomme. Alors elle pu aller de l’avant, retroussant ses manches, elle savait qu’elle pouvait compter sur son fils.
La vie fut plus prometteuse par la suite, Akira, bien que turbulent, était un élève gentil en primaire, se faisant facilement des amis, que ce soit pour ses compétences en sport, ou pour ses compétences en dessins, on lui demandait parfois des portraits. Il avait le choix entre plusieurs carrières, étant à la fois endurant avec de bon réflexe dans les activités physiques, mais aussi doué avec un crayon, le jeune garçon ne savait pas s’il préférait faire du baseball ou être dessinateur. Quand il eut 13 ans, sa mère se maria finalement à Jiiro l’homme de sa vie, qui avait déjà une fille d’un premier mariage : Noami, de trois ans de moins qu’Akira. L’entente de passa bien, très vite les deux devinrent comme frère et sœur de sang, et toute la famille s’installa dans un appartement plus grand.
La vie suivi son cours, Akira découvrit les jeux vidéo et les jeux de rôles, des nouvelles passions dans lesquels il entraîna sa demi-sœur, se faisant de nouveaux amis. Comme son talent en dessin s’affirmait, il continua ses études dans ce secteur, voulant être graphiste pour les personnages de jeux vidéo, un métier qui le motivait. Les sessions de jeux de rôles se finissent souvent tard la nuit, parfois même tôt le matin, mais il rentre avec Naomi, confiant, car sans savoir pourquoi, le jeune homme a toujours eu l’impression d’être plus fort que les autres, ce qui lui donne une assurance naturel.
Mais son existence paisible touche à sa fin par un matin comme une autre. Il rit encore des exploits de son personnage avec Noami, et les deux croisent la route d’une individu louche. Une belle femme d’apparence, qui s’approche d’eux avec un étrange brouillard noir autour, sourire aux lèvres. « Oh, qu’avons-nous là ? ». Son sourire s’élargie, dévoilant des canines trop pointues. Naomi suffoque, pourtant, Akira arrive encore à rester debout, alors il repousse sa demi-sœur en arrière « cours ! Va prévenir la police ! Je la retiens ! ». Il ne sait pas ce qu’il lui a pris, se croire un héros… Le jeune homme ne sait pas se battre, mais compte sur sa force et sa bonne santé naturel, et il charge ce qu’il prend pour une vampire. Sadique, celle-ci s’amuse de son audace, jouant avec lui sans se préoccuper de l’humaine partit devant. Elle lui dit qu’il a de bon réflexe, et qu’il pourrait être intéressant. Lassée de sa proie, elle l’assomma alors pour le ramener chez elle, dans son monde. Elle avait des projets en ce frais matin de janvier.
Contente d’elle, la démone ramena sa nouvelle acquisition aux Enfers, afin de le présenter pour la fête, et peut être avoir l’occasion de se faire bien voir aux yeux des hauts gradés. C’est un Akira tout perdu et hagard qui la suivi. Les quelques heures passés aux Enfers lui semblèrent une éternité. Jeté dans une cage deux humains virent s’ajouter à lui. Personne ne se parlait au début. Pourquoi faire de toute façon ? Ils devraient s’entretuer. Akira essaya de faire le pitre pour détendre l’ambiance. Mais ça ne marcha pas très bien. Il fut regardé de travers. Il soupira. Ils furent nourris, assez pour être en bonne santé.
Le jeune homme était inquiet… Il tremblait. Ce combat serait à mort. Il ne se sentait pas prêt du tout. Ses adversaire était comme lui, les yeux farouches de la rage de vivre. Akira se souvient d’un banquet fastueux. Ces gens humanoïdes, plus ou moins avec d’étranges attribues. La curiosité. Le sourire cruel des geôliers. Les yeux trop insistants. Il sut qu’on ne viendrait pas à leur aide. Commencement. Ca y est, il fallait se battre. Il ne voulait pas mourir. Ni l’autre jeune homme, ni la jeune fille. Au début ils hésitaient. On les houspilla, on leur expliqua que le vainqueur survivrait. Alors ils se combattirent férocement. Mais ils étaient humains, Akira pris l’avantage, se défendant. Son premier adversaire tomba à terre, le jeune homme. Les démons sifflèrent, l’encouragèrent à tuer son congénère. Pour donner plus de piment à l’affaire, on glissa même une dague vers lui.
Akira ne pouvait pas le faire. Tuer quelqu’un.
- De toute façon, l’air me tuera. Vas-y.
- Non.
Non. Ses yeux parcoururent l’assemblé. Il cherchait de l’aide, la pitié, n’importe quoi pour se sortir de là. Soudain la jeune femme qu’il avait oublié dans l’entrefaite se jeta sauvagement sur la dague pour achever celui à terre, pensant surement avoir une chance. Ceux qui avait parié sur lui furent déçu, ceux ayant pariés sur la jeune femme s’enthousiasmèrent. Akira écarquilla les yeux de surprise, regardant le sang s’étaler sur les habits de son congénère en ayant du mal à assimiler l’information. L’instinct de survie le fit reculer quand la femme voulu réitérer son exploit. Elle ne semblait pas vouloir lâcher l’affaire. Comment pouvait-il la blâmer de vouloir survivre ? Mais lui aussi voulait revoir sa famille… Savoir si sa sœur allait bien… Peut-être que s’ils s’éternisaient les démons en auraient marre et les laissera partir ? Akira essaya bien de mettre en place cette technique en la repoussant au mieux mais cela n’avait pas l’air d’affecter les projets des geôliers. Ils parlèrent entre eux un peu plus, allait un peu plus au banquet et jetait des coups d’œil au déroulement de la situation. Akira reconnu sa ravisseuse qui s’impatientait en s’exclamant des choses qu’il ne comprenait pas en le montrant du doigt. En ayant marre, le jeune homme réussi à lui donner un coup de poing afin de mettre son adversaire K.O. Il lui prit sa dague et attendit.
Un démon s’approcha de la cage et déclara une chose à ses congénères après avoir noté que l’humaine respirait encore. Un serviteur s’approcha avec un verre de jus… non identifié, et de la nourriture pour Akira, avec un petit regard désolé à son attention. Même si le japonais ne se sentait guère d’avaler quoique ce soit, il but un coup, assoiffé. Peut-être était-ce empoisonné ? Ah bah non. Le liquide était piquant mais rien de mortel. Et le banquet continuait… Apparemment on attendait que la jeune femme se réveille pour que le combat continu. Un inconnu à la peau entièrement grise, aux cheveux et aux yeux blancs un gros corbeau sur l’épaule le regarda et déclara en anglais avec un drôle d’accent :
- Je suis prêt à t’acheter si tu gagnes…
Akira ne savait pas si c’était censé être rassurant, en tous cas ça n’en avait pas l’air de prime abord. Il ne voulait pas être acheté, il ne voulait pas combattre. Il voulait juste sortir. Un mouvement du coin de l’œil le prévint du réveil de sa congénère prisonnière. Le jeune homme ne voulait pas continuer… Le démon ajouta :
- Tu as l’arme, sert t’en.
Il ne voulait pas. L’humaine le regardait de ses yeux mauvais. Il s’assit au sol et attendit. Encore et encore. Cela n’amusait strictement personne, niveau spectacle divertissant on avait mieux. Alors ils firent venir quelqu’un dans la cage. Un autre démon cruel. On leur expliqua que s’ils ne se battaient pas, il les torturerait avec du « miasme » paraît il. Un espèce de brouillard noir les envahit, ils se sentirent suffoquer, incapable de respirer. Cela s’arrêta. Mais il en fallait plus pour le faire changer d’avis. Mais pas l’humaine. Au bout de la cinquième fois, son regard fou, elle se jeta à nouveau sur Akira qui, encore confus, se protégea avec sa dague. Du sang s’étendit soudain sur les vêtements. Le démon gris étendit un sourire satisfait, les yeux de l’humaine s’éteignirent lentement et elle tomba au sol, la dague planté en elle. Il avait gagné. Et tourna de l’œil.
Le demi-humain se réveilla dans un lit, un masque sur la figure. D’un bond il fut sur pied et regarda autours de lui. Il constata que son index émettait un peu de lumière. Etrange. Mais au vu de la situation plus rien ne l’étonnait. Cette année serait encore plus bizarre qu’une simple lueur. Dans la demeure du dénommé Meverik, parmi d’autres servants, démons eux, on l’installa. Certains faisaient le ménage, d’autre la nourriture, il avait du mal à comprendre ce qu’on attendait de lui, essayant de ne pas trop penser aux évènements de la veille, les niant autant que possible. Et puis le démon voulu le former au combat. Devant sa réticence on lui promit une chose : s’il obéissait, dans un an il retournerait voir sa famille.
Alors Akira fit ce qu’on lui demanda. Entraîner son endurance ? Pas de problème. Apprendre le démonique ? S’il le fallait ! Au cours de l’année il se lia d’amitié avec quelques esclaves sympathiques, il comprit que ceux-ci étaient considéré comme « faibles » par les leurs, et donc exploitables. Meverik l’emmenait prendre l’air de la Terre de temps à autre, il avait l’air d’avoir un projet précis, un truc d’infiltration sur Terre pour le peu qu’il comprenait. Néanmoins, Akira ne l’entendait pas de cette oreille. Plus il communiquait avec ses amis, plus l’idée d’une révolte prenait forme. Vu le point où il en était, un gentil démon aux cheveux turquoise, Victor, lui chuchota que s’il mourrait, il deviendrait un démon, et donc qu’en cas d’extrême urgence, c’était la dernière solution. Le demi-humain n’avait toutefois pas envie de tester de suite. Néanmoins les évènements précipitèrent ses idées. Alors que Meverik recevait des amis, l’un d’eux se mis à s’en prendre à Victor pour une simple maladresse. Sans réfléchir il attaqua à coup de carafe le malotru, et se retrouva sans comprendre avec un pic de glace dans le ventre. Il s’écroula et entendit vaguement Meverik débarquer et engueuler le type avant de perdre lentement connaissance.
Et se réveilla au Paradis. Hagard, perdu, choqué. Il fallut un peu de temps à Akira pour se reprendre. Comme personne ne se manifesta pour le revendiquer, il fut placé en maison d’accueil, une jeune tutrice pour veiller sur lui : Ariana Anzkalevi. Quand enfin il reprit ses esprits, sa première demande fut d’aller quérir de l’aide auprès de sa tutrice afin qu’on aille aller aider les autres. Néanmoins, celle-ci répondit que ce n’était pas de leur ressort. Alors il demanda à sortir d’ici. Elle lui dit que ce n’était pas possible, il fallait demander la permission. Qu’à cela ne tienne ! Il comprit qu’il devrait se débrouiller seul. Le chérubin serra les dents, pris sur lui pour ne pas craquer et s’inscrivit à l’Académie. Problème. La langue. Il avait aussi des cours d’angélique. Mais il savait néanmoins ce qu’il devait apprendre : les portails. Et observer les gens en faire pour avoir des coordonnées – logiquement les anges ne se téléportaient pas en pleine mer ou plein volcan. Les cours sur le monde humains furent remplacés par le rattrapage dans tout ce qui était angélique. Aux capacités physiques il fut avéré qu’il avait de des bases de combat mais un style très agressif, peu défensif. Il ne parla à ses camarades, qu’il trouvait de toute façon trop jeunes pour ça, de ce qu’il avait vu aux Enfers, ni même aux autres adultes. Grâce au cours sur l’Equilibre, il sut pourquoi personne ne viendrait en aide à ses pauvres humains et faibles démons. Ce cours fut difficile à digérer, mais il se tut, serrant les poings.
A force de persévérance, de dessin de cercles et de détermination, il se concentra sur les portails pour y devenir bon. Il devait tenir trois ans, trois années interminables car il savait qu’enfin, au bout de cette troisième année il y aurait un stage sur Terre. Une aubaine pour récupérer des coordonnés… Cette année était la bonne, et il comptait bien mettre un terme à son séjour au Paradis !
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