Vous voici dans un monde où les anges contrôlent l'équilibre du monde, complotent, au dépend de toutes les races tant que l'équilibre est conservé. Que serez-vous ? |
Sujets importants de la période
• 2 août 2015 / An 5115 : Chose assez rare, un demi-humain est mort sur terre, il arrive donc aux Enfers, c'est Marbas qui est chargé de l'accueillir. Qui est-il, d'où vient-il, et surtout, sera-t-il utile ? ( www ) • 15 août 2015 / An 5115 : Aux enfers, de tremblements de terres commencent à déranger les habitants, d'abord du Pandémonium, puis, des autres. L'ordre royal a été donné le 30 août d'investiguer le volcan Aratah. ( www ) Nous recherchons des subordonnés et des civils dans tous les mondes.
Nous sommes en août-septembre 2015 chez les hommes | 9015 au Paradis | 5115 aux Enfers |
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| Alan Alice Winter [terminé] | |
| Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Alan Alice Winter [terminé] Mar 11 Sep - 1:04 | |
| Alan (Alice) Winter 20 ans - 26 septembre 1994 - Civil- Humain - Transsexuelle (male to female)- Pansexuelle,avec une légère préférence pour les femmes avatar(s) : Personnage original de Nuwanko De quoi ai-je l'air ? Elle m’aurait certainement fait la moue en apprenant que j’ai coupé mes cheveux, j’en avais arraché sous la folie et la coiffeuse n’a trouvé que cette coupe pour rattraper mon état. Mes cheveux sont brun, même si j’ai quelques mèches blanche, que je garde en souvenir, les médecins ne savent pas si je vais avoir une chevelure totalement blanche à cause du choc psychologique que j’ai reçu.
Mes yeux sont devenus un peu plus clair, passant à un noisette qui peut rougir légèrement quand je suis sous le coup d’un sentiment fort. Le médecin m'a dit que j'avais dans ses moment un fort afflux de sang et qu'avec la lumière, cela donnait une illusion de se rougir.
Je fais un mètre soixante-cinq, pour un poids qui ne vous regarde pas, je suis dans la moyenne, selon la courbe des femmes.
Avec beaucoup de sacrifice et de volonté, mon corps est fin. La finesse voulant aussi dire que je ne possède pas une grande force, ayant misé sur la flexibilité de mon corps et sa vivacité. Ne vous attendez pas que je vous poursuive pendant un kilomètre, dans un état calme.
J’ai une poitrine assez modeste. Je n’ai jamais été attirée par celles imposantes et une trop plate aurait rendu mon chemin un peu plus difficile. J’ai préféré me remettre à l’avis de Béatrice. Mon fessier équilibre bien le corps.
Vous n’entendrez pas ma voix, depuis que j’ai fait la rencontre de ce meurtrier, elle ne veut plus émettre de son. On me dit que s’est un blocage. Pourtant j’avais pris soin de la féminiser, de l’entrainer pour être crédible. (Pourra se débloquer dans un rp)
Je devais être parfaitement féminine physiquement le mois prochain. Cependant, avec ce qui s’est passé, l’opération a été reportée à une date que je devrais définir, gardant mon sexe d’homme.
En termes de vêtement, je porte des tenues simples, allant de la robe à la tenue de travail adaptée. J’ai bien évidement des tenues un peu plus provocantes, mais elles resteront un moment dans mon placard. En chaussure je peux porter de tout.
Ma façon de penser Mon esprit est encore un peu embrumé avec les médicaments. J’étais certainement sous le vice de la luxure, acceptant ce vice avec Béatrice. Maintenant, même le vice de la colère me semble bien pâle par rapport à ce que je ressens. Cet être, si je l’avais entre mes mains, si j’étais certaine de pouvoir le garder, l’emprisonner, je laisserais ma folie m’envahir et laisser cette bête en moi le déchiqueter, le laisser agoniser, le laisser récupérer pour venir le dévorer à nouveau, jusqu’à ce qu’il ne reste plus une étincelle d’existence dans ses yeux. Je serais prête à perdre mon humanité pour le retrouver et le tuer.
Si j’apprends le nom de la race de cette chose, je considèrerais ceux de son espèce comme des meurtriers, des bêtes sanguinaires qui ne méritent que l’extinction.
Avec les médicaments, j’arrive à avoir une vie assez normale. Je ne me suis pas mise à boire ou à consommer d’autres produits tout aussi destructeurs. J’arrive à sourire, à rire, mais ce n’est jamais réellement vrai, juste une imitation pour paraître saine d’esprit. Comment le pourrais-je avec cette immonde chose qui traine en ville et qui doit se gausser d’avoir atteint sa cible.
Tant que je ne suis pas soumise à la présence d’une femme plus âgée, blonde et avec un peu plus de poitrine que moi ou alors, un rappel de la mort de Béatrice, je peux me passer de médicament. Sans quoi je sens le souffle me manquer, mon cœur battre de plus en plus fort, mes jambes trembler, ma raison sombrer dans les ténèbres, devenant aussi craintive et agressive qu’une bête acculée.
Sans médicament le monde me parait fade. On a tenté de me parler des anges, des croyants fanatiques pensant que j'avais réchappé à l'attaque grâce à l'intervention divine, me faisant marrer. S’ils existaient ce sont des faux culs, ne bougeant pas alors qu’une humaine est menacée, ils n’ont de lumineux que leurs mondes, laissant dans les ténèbres le reste.
J’arrive à manger normalement, bien que j’ai un rejet face à la viande saignante ou aux sauces rouges. J'aime le froid et le salé.
Il m'arrive régulièrement d’errer en moto ou de m'enfermer dans des livres, assimiler le savoir et la monte des bécanes étant facile pour moi. Par contre ne me demandez pas de conduire une voiture, je n'aime pas les véhicules encombrants et lourds à la détente.
Mon caractère perfectionniste me tient toujours à l’affût du moindre défaut, devenant une maladie quand cela touche à mon apparence.
Ce que je sais faire....
- Langue(s) parlée(s) : J’ai appris les bases du français, du russe et du chinois, étant supervisée par Béatrice. Je maîtrise ma langue natale qui est l'anglais américain
- Capacités au corps à corps et force physique : connaissance basique du couteau et self-defense
- Capacités en arme : Depuis l’incident, je porte constamment sur moi un couteau, prête à l’utiliser si je croise cette immondice.
L'histoire qui m'anime On raconte que de nombreux trouble viennent de l’enfance. J’estime ne pas avoir eu une enfance malheureuse.
Je suis née à Eureka, dans le Nevada. J’étais un garçon un peu discret et timide, mais je n’avais pas spécialement de difficulté dans la vie de tous les jours.
Béatrice était une connaissance depuis l’enfance. Elle était bien plus âgée que moi, quatre ans de différence. Elle a toujours été là pour me protéger quand je me faisais submerger par trop d’enfants ou que j’hésitais à réagir.
N’ayant pas tellement bougé d’endroit, j’ai toujours été en contact avec Béatrice, venant à huit ans à sentir un souci. Bien trop craintive de la réaction de mes parents, je me confiais à Béatrice, cette sensation de ne pas être à ma place, le fait que j’admirais les filles et leurs vêtements. Elle pensait que s’était un délire, mais jamais elle ne vint à me repousser. Avec le temps cette sensation se mit à prendre de l’ampleur, si bien qu’un jour je fis une crise d’angoisse et elle était là pour m’aider à me calmer. J'avais neuf ans à cet instant.
Elle m’épaulait pour en parler à mes parents qui prirent le choix de m’emmener chez le psychologue. S’en suivit un diagnostic flou, incertain, n’aboutissant à rien, si ce n’est de l’inquiétude de mes parents, qui pensaient que j’allais devenir un enfant à problème. C’est à partir de là que mon chemin devint tumultueux. Mon vide prit une consistance, un désir, celui d’être une fille, même si je savais que cela était compliqué.
Béatrice se moquait bien de savoir si je désirais être une fille ou pas. Pour elle je restais une personne gentille et qui méritait d’être protéger des tracas de la vie. Cela nous rapprocha.
Puis un jour elle déménagea avec ses parents, me laissant seule. Je ne pouvais l’en vouloir, ses parents avaient de grand rêve pour elle, devant vivre seule avec ce désir qui me pesais. J'avais à peine fêté mes douze ans.
Le temps se mit à passer, prenant des médicaments pour contrôler mes crises d’angoisses, venant voir régulièrement le psychologue. Mes parents restaient cependant ferme sur le fait que je devais être un jeune homme, piétinant sans pitié mon désir dès qu’ils le pouvaient.
S’est en sortant du lycée que je vins à postuler comme secrétaire dans un cabinet d’avocat, souhaitant devenir autonome et découvrant que mon patron n’était nulle autre personne que Béatrice. Je vins à fondre en larme et vider mon sac, découvrant par la même occasion l’amour. Quelques mois plus tard, je vins à déclarer ma flamme. Elle fut surprise, mais visiblement elle avait aussi des sentiments envers moi, la moi femme et non celle garçon. Elle n’hésita pas à dire qu’elle préférait les femmes et que j’allais devoir faire beaucoup de travail pour atteindre ses espérances. Nous avons donc signé un contrat particulier. Je me pliais à ses barèmes de féminité et elle subvenait aux besoins en échange.
Les changements se succédèrent. En deux ans j’étais devenue méconnaissable. Béatrice venant à m’offrir l’opération de la poitrine en cadeau d’anniversaire, afin de marquer une étape. Cela pouvait paraître glauque pour les autres, mais pour moi s’était une nouvelle marque d’amour et aussi le signe que j’étais proche d’atteindre l’étape ou je serais pleinement femme pour elle. J'avais atteint ma dix-huitième année et j'étais en marche pour devenir sa femme.
Tout le temps que je fus avec elle, je passais une partie de la journée à apprendre. Béatrice ne souhaitait pas avoir une compagne et une secrétaire ne comprenant pas les termes juridique et ne sachant pas parler au moins trois langue, même de façon basique.
Je me rappelle cependant de cette nuit.S'était au tout début du mois de novembre 2014. Nous avions fait une virée au cinéma, faisant un détour à un bar où Béatrice avait, comme toujours, trop bu, devant la traîner jusqu’à la maison. Elle était belle en toute occasion, cet instant de faiblesse me donnant la sensation d’être d’une importance cruciale pour elle.
Je fus projetée en arrière, tombant sur les fesses, quand je regardais Béatrice, je vis cette chose qui fit répandre son sang. Je sais que j’ai hurlée d’horreur, venant à saisir un objet quelconque pour frapper l’agresseur, qui me renvoya contre un mur, le choc venant à me faire perdre connaissance.
Quand je rouvris les yeux, j’étais à l’hôpital, avec des transfusions. Le médecin me dit que j’avais eu une blessure au niveau de la hanche droite, avec perte de sang. Mon esprit ne tarda pas à se réveiller, venant à demander des nouvelles de Béatrice. Les médecins se mirent à ne rien dire le premier jour, le second ils cédèrent, venant à m’administrer de quoi me calmer, devenant folle. On me garda en surveillance pendant une semaine, refusant toute visite, même mes parents, n’étant nourrit que par transfusion. Ma voix ne revint pas, rendant l’interrogatoire des policiers compliqués, décrivant péniblement par écrit ce que j’avais vu, mais ils semblaient ne pas me croire. Ils ne croyaient pas que nous avions été attaquées par une forme humaine, avec des cornes recourbée d'ébène et une force surhumaine, cette paire d'aile membraneuse, comme si nous avions eut affaire à une créature tirée d'un film d'horreur.
Le soir après leurs visites je mis ma chambre d’hôpital sans dessus-dessous, m’arrachant des cheveux dans cette crise de folie. Jurant de ne plus laisser quiconque venir me voir, ne supportant pas que l'on me dise que cela n'existe pas, que l'on me soupçonne d'avoir tenté de la tuer.
Deux semaines plus tard mon état semblait aller mieux, les médecins me prescrivant des médicaments à prendre, pour éviter mes crises.
Cela fait à présent un mois que je suis sortie de l’hôpital, devant voir le psychologue régulièrement. J’ai continué à vivre chez Béatrice, ne trouvant que cet endroit d’apaisant, même si cela est douloureux. Je fais de petit job à droite et à gauche, quand ma condition mentale n’est pas un frein pour me faire embaucher.
J’avais coupé les ponts avec mes parents, qui avaient toujours cru que j’étais manipulée par elle. Me retrouvant à présent totalement seule et sans attache.
Je comptais traquer cette chose et la tuer, pour que Béatrice puisse reposer en paix en sachant que j’avais vengé sa mort.
je n'avais pas vu la nouvelle année passer, nous étions donc en janvier 2015, ma bonne résolution était toute trouvée.
derrière l'écran Fiela - 28 ans - fréquence de connexion 7/7 (sauf event IRL) Comment avez vous trouvé le forum ? un top site
Dernière édition par Alan Alice Winter le Mar 11 Sep - 18:22, édité 2 fois |
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| Sujet: Re: Alan Alice Winter [terminé] Mar 11 Sep - 9:48 | |
| Coucou et bienvenue, héhé Fiche faite très rapidement, ça fait plaisir :3 J'ai pas grand chose à dire, la fiche est sympathique. Concernant l'âge vu que nous sommes en janvier 2015, si je sais compter, elle n'aurait que 19 ans pour le moment. Niveau des mèches blanches, j'ai cherché parce que j'avais un doute, c'est pas scientifiquement prouvé, si ce n'est que quelques mèches je l'accepte o/ Par contre, pour les yeux, c'est à cause de la lumière ? parce que si c'est à cause d'un traumatisme je préfère ne pas spéculer jusque là o/ Au niveau de l'histoire je demanderai juste trois petits ajouts / précisions - Où es-tu née? (tu dis avoir les bases de l'anglais mais nous sommes en Amérique du coup xD) - Mettre un peu plus de temporalité (préciser la date de l'agression, par exemple, quand à déménagé Béatrice) - Préciser ce qui est écrit aux policiers. L'ISMADD va forcément l'apprendre, ils ont une petite alerte informatique quand ça parle de rapport étrange des policiers o/ Il est d'ailleurs possible qu'ils viennent te voir sous couvert d'être du FBI ou autre o/. Voilà c'est tout ce n'est pas grand chose :3 Edit : Ha j'ai totalement oublié, qui te parle d'anges (mental) et pourquoi ? o/ |
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Invité Invité
| Sujet: Re: Alan Alice Winter [terminé] Mar 11 Sep - 18:22 | |
| Pour la mèche, cela ne devrait pas évoluer, sans intervention de pouvoir ou de pacte, bien entendu.
J'ai modifié l'âge pour garder 20 ans.
Concernant les yeux j'ai modifié pour dire qu'il s'agissait d'un afflux sanguin lors de sentiment important (coeur qui bat plus vite, donc dilatation des veines, etc.) qui donnait la sensation que ses yeux rougissait.
j'ai modifié les autres points. ^^ |
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Gwenaël Ea'ssy CONSEILLER DES DEFENSES MAGIQUES
| Sujet: Re: Alan Alice Winter [terminé] Mar 11 Sep - 19:56 | |
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| Sujet: Re: Alan Alice Winter [terminé] | |
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